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[EN] The Oriental armyworm scientifically referred to as Mythimna separata poses a significant threat to cereal crops across East Asia, South Asia, and Australia, resulting in notable agricultural losses. Recent reports indicate its widespread presence in 21 Asian countries and its establishment in Europe (Russia) and Oceania (Australia, Cook Islands, Fiji, New Caledonia, Norfolk Island, New Zealand, Papua New Guinea, Samoa, Solomon Islands, Tonga, and Vanuatu). M. separata undergoes a comprehensive metamorphic life cycle, progressing through stages of egg, larva, pupa, and adult. The larvae are highly voracious, causing significant harm to diverse crops This pest targets a wide range of host plants spanning 18 families, with the majority belonging to Poaceae (44 species), Brassicaceae (10), Cucurbitaceae (9), and Fabaceae (8), exacerbating agricultural damages. The voracious feeding habits of M. separata larvae lead to significant crop damage and reduced yields across various crops. Its adaptability to diverse environments and broad host range further amplifies its impact on agriculture. The challenges in predicting and controlling outbreaks stem from its strong flight capabilities, high reproductive rates of females, and voracious feeding behavior during later larval stages. Traditionally, insecticide application has been the primary method for controlling M. separata. However, concerns regarding health risks, ecological disruptions, rising costs, diminishing efficacy of some products, and adverse effects on non-target organisms and human health highlight the need for environmentally sustainable pest management strategies. Biological control, involving the utilization of natural enemies such as insects, viruses, fungi, bacteria, nematodes, mites, and spiders, has emerged as a vital approach for managing insect pests while preserving ecological balance. Given the complex challenges posed by M. separata, implementing a holistic approach that integrates biological control methods holds promise for effective pest management. This approach aligns with principles of environmental sustainability and biodiversity conservation within agro-ecosystems.
[FR]
Le légionnaire oriental, scientifiquement appelé Mythimna separata, représente une menace importante pour les cultures céréalières en Asie de l'Est, en Asie du Sud et en Australie, entraînant des pertes agricoles considérables. Des rapports récents indiquent sa présence généralisée dans 21 pays asiatiques et son implantation en Europe (Russie) et en Océanie (Australie, Îles Cook, Fidji, Nouvelle-Calédonie, Île Norfolk, Nouvelle-Zélande, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Samoa, Îles Salomon, Tonga et Vanuatu). M. separata subit un cycle de vie métamorphique complet, passant par les stades d'œuf, de larve, de chrysalide et d'adulte. Les larves sont très voraces et causent des dommages importants à diverses cultures. Ce ravageur s'attaque à un large éventail de plantes hôtes appartenant à 18 familles, dont la majorité appartient aux Poaceae (44 espèces), aux Brassicaceae (10), aux Cucurbitaceae (9) et aux Fabaceae (8), ce qui aggrave les dommages agricoles. Les habitudes alimentaires voraces des larves de M. separata entraînent des dégâts importants et une baisse des rendements dans diverses cultures. Sa capacité d'adaptation à divers environnements et à un large éventail d'hôtes amplifie encore son impact sur l'agriculture. Les difficultés à prévoir et à contrôler les infestations proviennent de ses fortes capacités de vol, du taux de reproduction élevé des femelles et de son comportement alimentaire vorace au cours des derniers stades larvaires. Traditionnellement, l'application d'insecticides a été la principale méthode de lutte contre M. separata. Cependant, les préoccupations liées aux risques pour la santé, aux perturbations écologiques, à l'augmentation des coûts, à la diminution de l'efficacité de certains produits et aux effets néfastes sur les organismes non ciblés et la santé humaine soulignent la nécessité de mettre en place des stratégies de lutte antiparasitaire durables sur le plan environnemental. La lutte biologique, qui consiste à utiliser des ennemis naturels tels que des insectes, des virus, des champignons, des bactéries, des nématodes, des acariens et des araignées, est apparue comme une approche essentielle pour lutter contre les insectes nuisibles tout en préservant l'équilibre écologique. Compte tenu des défis complexes posés par M. separata, la mise en œuvre d'une approche holistique intégrant des méthodes de lutte biologique est prometteuse pour une gestion efficace des ravageurs. Cette approche s'aligne sur les principes de durabilité environnementale et de conservation de la biodiversité au sein des agro-écosystèmes. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)