Sujet
F50 - Anatomie et morphologie des plantes, F62 - Physiologie végétale - Croissance et développement, F08 - Systèmes et modes de culture, Theobroma cacao, Cocos nucifera, Culture intercalaire, Anatomie végétale, Système racinaire, Compétition biologique, Croissance, Sève, Transpiration, Relation plante eau, Bilan hydrique, Modèle de simulation, Culture associée, Modélisation, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_7713, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_1716, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_3910, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_5954, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_16034, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_917, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_3394, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_6791, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_7871, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_16147, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_8311, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_24242, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_35927, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_230ab86c, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_5159, http://aims.fao.org/aos/agrovoc/c_3840
Domaines
Cocoa, Coco, Culture, Architecture
Description
Pour aborder les aspects des interactions racinaires entre le cocotier et le cacaoyer cultivés en association, on étudie l'architecture et le développement de leurs systèmes racinaires, en utilisant l'outil de modélisation et de simulation développé par l'AMAP. L'unité architecturale des systèmes racinaires est déterminée, avec la définition d'une typologie des axes racinaires, et est modélisée par un modèle global, l'axe de référence qui réunit tous les types d'axes définis, tous les paramètres issus de la modélisation des processus de croissance, mortalité et ramification de ces axes ainsi que leurs paramètres géométriques. Chez le cocotier 9 types d'axes racinaires sont déterminés, 8 types chez le cacaoyer. Un logiciel de simulation permet la réalisation de maquettes numériques tridimensionnelles. Des observations faites sur les systèmes racinaires en culture associée montrent qu'aucune modification majeure de l'architecture des deux systèmes n'est provoquée par leur interaction physique. Aucun phénomène d'allélopathie n'est observé. Les vitesses de croissance des racines en culture pure et associée ne sont pas différentes. La consommation en eau des cacaoyers est étudiée par des mesures de flux de sève. Le cacaoyer a une consommation journalière en eau très faible mais est sensible à l'augmentation de la demande climatique en milieu de journée. Sa consommation en eau est alors réduite par un contrôle stomatique important de sa transpiration foliaire. Une comparaison effectuée entre les consommations en eau de cacaoyers en culture pure et associée ne montre aucune différence significative. Des mesures d'humédimétrie capacitive sont réalisées sur trois parcelles : deux en culture pure, une de cocotier, une de cacaoyer, et une parcelle de culture associée. Un bilan hydrique simplifié permet d'estimer indirectement les valeurs de consommation en eau du cocotier
